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- Après-match
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- Par guigues
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On ne va pas y aller par quatre chemins : ce match ne restera pas gravé dans la mémoire des Strasbourgeois et encore moins des sept Chamois venus visiter Strasbourg par ce samedi hivernal, ce n'est qu'un match de plus vers une remontée encore lointaine
Un match vide pour un compteur plein
Trois points sinon rien, tel était le slogan de l'équipe alsacienne avant le début du match. Il s'est transformé en trois points et rien de plus pour les quelques 11000 spectateurs venus officiellement assister à cette rencontre palpitante face au 19ème de la Ligue 2. Peut-être étaient-ils alléchés par le beau jeu entrevu la semaine dernière face à Lille ? Ils repartiront déçus.
La première mi-temps commence tambour battant, par des phases de jeu peu inspirées des deux cotés : résultat, pas grand chose pour réchauffer les travées du stade.
Ce sont même les Chamois qui dominent leurs adversaires du soir, même si cette domination ne se concrétise pas vraiment par ce qu'on pourrait appeler des actions chaudes.
Encore plus étonnant, c'est un Deroff des grands soirs qui frappe pour la première fois en direction de la cage niortaise. La première véritable occasion vient d'un coup franc de Cohade pour la tête de Bellaid qui oblige un Niortais à sauver sur sa ligne, on joue la 35ème minute...
Quand les deux équipes rentrent se réchauffer dans les vestiaires, ce sont des sifflets de mécontentement qui les accompagnent.
On prend les mêmes et on recommence
Il n'est pas vraiment utile de broder ou de faire durer le suspense sur la dexuième mi-temps. On peut la résumer aux quelques coups francs signés Cohade, qui seront les seuls moments chauds du match. Par souci du détail, il faudra préciser que c'est Bellaid (sur un coup franc de Cohade) qui d'une tête décroisée inscrira le but de la victoire, celui qui rapporte les trois points tellement convoités. La fin du match est égale à son début, pas grand chose, sinon rien.
Que retenir de ce Strasbourg-Niort ?
Question piège s'il en est une, à laquelle tous les linguistes du jargon footballistique répondront le sempiternel « l'important c'est les trois points ». Il nous faut néanmoins dépasser ce bref exposé philosophique pour extraire de quoi alimenter les débats passionnés des pauses café de la semaine.
Ainsi il faudra mettre en avant que Cassard, toujours aussi professionnel, garde ses cages inviolées pour le troisième match consécutif, permettant ainsi au Racing de conforter sa troisième place au classement en restant intraitable à domicile.
Ensuite on pourra parler de l'intégration plus ou moins prometteuse des nouvelles recrues dont la vocation offensive tarde à se révéler. Si M'Bodji a été besogneux et Joao Paulo a laissé entrevoir une once de talent, il faut avouer que nos trois nouveaux venus ont bien du mal à s'adapter au froid alsacien.
Enfin on ne manquera pas de faire une ouverture sur le périlleux déplacement qui se profile lundi prochain au stade du Roudourou, où les Strasbourgeois devront montrer bien plus que ce soir pour accrocher les fameux trois points.
Trois points sinon rien, tel était le slogan de l'équipe alsacienne avant le début du match. Il s'est transformé en trois points et rien de plus pour les quelques 11000 spectateurs venus officiellement assister à cette rencontre palpitante face au 19ème de la Ligue 2. Peut-être étaient-ils alléchés par le beau jeu entrevu la semaine dernière face à Lille ? Ils repartiront déçus.
La première mi-temps commence tambour battant, par des phases de jeu peu inspirées des deux cotés : résultat, pas grand chose pour réchauffer les travées du stade.
Ce sont même les Chamois qui dominent leurs adversaires du soir, même si cette domination ne se concrétise pas vraiment par ce qu'on pourrait appeler des actions chaudes.
Encore plus étonnant, c'est un Deroff des grands soirs qui frappe pour la première fois en direction de la cage niortaise. La première véritable occasion vient d'un coup franc de Cohade pour la tête de Bellaid qui oblige un Niortais à sauver sur sa ligne, on joue la 35ème minute...
Quand les deux équipes rentrent se réchauffer dans les vestiaires, ce sont des sifflets de mécontentement qui les accompagnent.
On prend les mêmes et on recommence
Il n'est pas vraiment utile de broder ou de faire durer le suspense sur la dexuième mi-temps. On peut la résumer aux quelques coups francs signés Cohade, qui seront les seuls moments chauds du match. Par souci du détail, il faudra préciser que c'est Bellaid (sur un coup franc de Cohade) qui d'une tête décroisée inscrira le but de la victoire, celui qui rapporte les trois points tellement convoités. La fin du match est égale à son début, pas grand chose, sinon rien.
Que retenir de ce Strasbourg-Niort ?
Question piège s'il en est une, à laquelle tous les linguistes du jargon footballistique répondront le sempiternel « l'important c'est les trois points ». Il nous faut néanmoins dépasser ce bref exposé philosophique pour extraire de quoi alimenter les débats passionnés des pauses café de la semaine.
Ainsi il faudra mettre en avant que Cassard, toujours aussi professionnel, garde ses cages inviolées pour le troisième match consécutif, permettant ainsi au Racing de conforter sa troisième place au classement en restant intraitable à domicile.
Ensuite on pourra parler de l'intégration plus ou moins prometteuse des nouvelles recrues dont la vocation offensive tarde à se révéler. Si M'Bodji a été besogneux et Joao Paulo a laissé entrevoir une once de talent, il faut avouer que nos trois nouveaux venus ont bien du mal à s'adapter au froid alsacien.
Enfin on ne manquera pas de faire une ouverture sur le périlleux déplacement qui se profile lundi prochain au stade du Roudourou, où les Strasbourgeois devront montrer bien plus que ce soir pour accrocher les fameux trois points.
