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- Après-match
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Bien que mis à mal par l'expulsion de Dos Santos dès la 46ème minute, le Racing a failli ramener le point du nul de Nice. Mais malgré un bon match et une combativité réconfortante, les Alsaciens s'inclinent finalement sur le fil face au Gym.
Une première demi-heure strasbourgeoise
Après un championnat bien entamé face à l'OM, Jean-Marc Furlan alignait ce soir la même équipe pour le premier match de la saison à l'extérieur. A une différence près cependant : Pascal Johansen, forfait de dernière minute à cause d'une douleur au genou, se voyait obligé de céder son poste de n°10 à Abdessadki.
Et au stade du Ray, après dix premières minutes d'observation, le Racing parvient à prendre le jeu à son compte face aux coéquipiers de Cédric Kanté. En conséquence les Strasbourgeois se créent trois belles opportunités en trois minutes juste avant le quart d'heure : c'est d'abord Renteria qui déborde sur la droite et adresse un centre tir qui passe devant les cages niçoises. Puis Cohade, après une belle action collective, tergiverse trop longuement et sert à contre temps Abdessadki et Renteria pourtant bien démarqués à l'entrée de la surface. Enfin c'est James Fanchone qui déborde sur son flanc droit, dribble et sert Cohade dans la surface de réparation : la frappe de ce dernier frôle le poteau gauche de Lloris.
La plus belle pour Abdessadki
Face à un Gym peu tonique et manquant singulièrement de rythme, les Strasbourgeois bien en jambes poursuivent leur domination tout au long de la première demi-heure. C'est cette fois à Mouloungui de s'infiltrer dans l'axe à la 19ème minute, de récupérer une balle dans les pieds de Rool et d'affronter en un contre un le prometteur portier azuréen : c'est ce dernier qui s'impose.
Strasbourg ne trouvant pas l'ouverture, peu à peu les Niçois reprennent du poil de la bête et servent de mieux en mieux les attaquants dans les espaces : juste avant la trentième minute, Fanchone perd le ballon au milieu de terrain, Koné est bien lancé dans la profondeur et parvient à frapper un ballon qui termine pas loin de la lucarne de Cassard.
Cependant c'est encore le Racing qui se crée la dernière et la plus nette des occasions de cette première mi-temps : Abdessadki pas attaqué par l'arrière garde niçoise prend sa chance à l'entrée de la surface. Sa frappe à ras de terre tape le poteau gauche de Lloris (34ème minute).
Le Racing défend bien
Auteur d'une belle première moitié de match, tous les espoirs sont donc permis aux Strasbourgeois à l'entame de la seconde période. Malheureusement dès la 46ème minute Manuel Dos Santos est logiquement expulsé pour un second carton jaune suite à une faute sur Apam. Ce Nigérian âgé d'à peine 21 ans, non content d'annihiler parfaitement toutes les possibilités de Mouloungui, parvient à faire basculer la rencontre en faveur de ses couleurs : dès lors le Racing est contraint de courir derrière le ballon.
Mais heureusement les Niçois restent brouillon et les Bleus sont rarement en danger, mis à part sur une grosse erreur d'Habib Bellaïd : l'international espoir perd le ballon face à Koné qui peut filer seul au but. Cassard s'impose finalement comme Lloris en première mi-temps.
Ensuite c'est encore le Racing qui se crée l'occasion la plus nette à la 70ème minute sur une belle frappe de trente mètres de Cohade qui oblige Lloris à s'employer. Strasbourg défend parfaitement bien et le sang neuf apporté par Camadini, Gameiro et Mathlouthi permet de ne pas trop subir.
A l'entame des dix dernières minutes, seules des frappes des entrants niçois (Modeste et Traoré) font frissonner quelque peu les supporters du Racing.
Une seule inattention...
Peu inquiété dans le jeu, le Racing perd malheureusement tout sur un coup franc aux 35 mètres : à la 86ème minute, la frappe puissante et parfaitement placée d'Hellebuyck est déviée dans le but du bout du pied d'Hognon. Il ne nous reste alors que les yeux pour pleurer ce point pourtant bien mérité et qui s'envole de si peu. Car avec un jeu rassurant et une belle solidarité, Strasbourg avait clairement de belles cartes en main ce soir...
Mais pas le temps de s'apitoyer : dès mercredi prochain l'AJ Auxerre, battu à domicile par Bordeaux (0-2) et dernier du classement se présente à la Meinau. Un match à enjeu qui devra permettre aux Alsaciens de marquer et de gagner. Car pour le syndrome de l'équipe qui joue bien mais qui perd à la fin, on a déjà suffisamment donné !
Après un championnat bien entamé face à l'OM, Jean-Marc Furlan alignait ce soir la même équipe pour le premier match de la saison à l'extérieur. A une différence près cependant : Pascal Johansen, forfait de dernière minute à cause d'une douleur au genou, se voyait obligé de céder son poste de n°10 à Abdessadki.
Et au stade du Ray, après dix premières minutes d'observation, le Racing parvient à prendre le jeu à son compte face aux coéquipiers de Cédric Kanté. En conséquence les Strasbourgeois se créent trois belles opportunités en trois minutes juste avant le quart d'heure : c'est d'abord Renteria qui déborde sur la droite et adresse un centre tir qui passe devant les cages niçoises. Puis Cohade, après une belle action collective, tergiverse trop longuement et sert à contre temps Abdessadki et Renteria pourtant bien démarqués à l'entrée de la surface. Enfin c'est James Fanchone qui déborde sur son flanc droit, dribble et sert Cohade dans la surface de réparation : la frappe de ce dernier frôle le poteau gauche de Lloris.
La plus belle pour Abdessadki
Face à un Gym peu tonique et manquant singulièrement de rythme, les Strasbourgeois bien en jambes poursuivent leur domination tout au long de la première demi-heure. C'est cette fois à Mouloungui de s'infiltrer dans l'axe à la 19ème minute, de récupérer une balle dans les pieds de Rool et d'affronter en un contre un le prometteur portier azuréen : c'est ce dernier qui s'impose.
Strasbourg ne trouvant pas l'ouverture, peu à peu les Niçois reprennent du poil de la bête et servent de mieux en mieux les attaquants dans les espaces : juste avant la trentième minute, Fanchone perd le ballon au milieu de terrain, Koné est bien lancé dans la profondeur et parvient à frapper un ballon qui termine pas loin de la lucarne de Cassard.
Cependant c'est encore le Racing qui se crée la dernière et la plus nette des occasions de cette première mi-temps : Abdessadki pas attaqué par l'arrière garde niçoise prend sa chance à l'entrée de la surface. Sa frappe à ras de terre tape le poteau gauche de Lloris (34ème minute).
Le Racing défend bien
Auteur d'une belle première moitié de match, tous les espoirs sont donc permis aux Strasbourgeois à l'entame de la seconde période. Malheureusement dès la 46ème minute Manuel Dos Santos est logiquement expulsé pour un second carton jaune suite à une faute sur Apam. Ce Nigérian âgé d'à peine 21 ans, non content d'annihiler parfaitement toutes les possibilités de Mouloungui, parvient à faire basculer la rencontre en faveur de ses couleurs : dès lors le Racing est contraint de courir derrière le ballon.
Mais heureusement les Niçois restent brouillon et les Bleus sont rarement en danger, mis à part sur une grosse erreur d'Habib Bellaïd : l'international espoir perd le ballon face à Koné qui peut filer seul au but. Cassard s'impose finalement comme Lloris en première mi-temps.
Ensuite c'est encore le Racing qui se crée l'occasion la plus nette à la 70ème minute sur une belle frappe de trente mètres de Cohade qui oblige Lloris à s'employer. Strasbourg défend parfaitement bien et le sang neuf apporté par Camadini, Gameiro et Mathlouthi permet de ne pas trop subir.
A l'entame des dix dernières minutes, seules des frappes des entrants niçois (Modeste et Traoré) font frissonner quelque peu les supporters du Racing.
Une seule inattention...
Peu inquiété dans le jeu, le Racing perd malheureusement tout sur un coup franc aux 35 mètres : à la 86ème minute, la frappe puissante et parfaitement placée d'Hellebuyck est déviée dans le but du bout du pied d'Hognon. Il ne nous reste alors que les yeux pour pleurer ce point pourtant bien mérité et qui s'envole de si peu. Car avec un jeu rassurant et une belle solidarité, Strasbourg avait clairement de belles cartes en main ce soir...
Mais pas le temps de s'apitoyer : dès mercredi prochain l'AJ Auxerre, battu à domicile par Bordeaux (0-2) et dernier du classement se présente à la Meinau. Un match à enjeu qui devra permettre aux Alsaciens de marquer et de gagner. Car pour le syndrome de l'équipe qui joue bien mais qui perd à la fin, on a déjà suffisamment donné !
