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Le Racing domine un rival pour la montée et confirme que sa traditionnelle mauvaise passe hivernale est bien derrière lui.
Avec le nul convaincant à Vannes et les victoires face à Clermont et à Nîmes, le Racing peut s'appuyer sur quelques certitudes avant d'affronter des Angevins placés juste devant au classement. Pour ce match, les Bleus récupèrent Harlington Shereni et Yacine Bezzaz, de retour de suspension alors que Furlan choisit de titulariser Kandia Traoré en dépit ou à cause ? de ses déclarations véhémentes dans la presse.
D'entrée de jeu, les Strasbourgeois appliquent un pressing très haut qui gène considérablement la relance du SCO et s'imposent dans le défi physique. A la 16ème minute, un coup-franc bien tiré par Renaud Cohade trouve James Fanchone dans la surface. Le Guadeloupéen remise pour Kandia Traoré, un peu oublié par la défense angevine, et l'ancien Sochalien ne se fait pas prier pour ouvrir le score du droit (1-0, 16'). Une occasion, un but, le match commence sous les meilleurs auspices et les hommes de Jean-Louis Garcia doutent visiblement, à l'image d'une charnière centrale Ecuele Manga Couturier loin d'être souveraine. Douze minutes plus tard, les Strasbourgeois doublent la mise : sur un dégagement de Shereni c'est cette fois Jean-Alain Fanchone qui donne à Traoré pour le doublé (2-0, 28'). L'Ivoirien aura encore une superbe occasion quatre minutes plus tard sur un beau rush mais son ballon frise le montant de Padovani. Deux buts d'écart à la pause, les Racingmen ont su profiter à merveille de la fébrilité des Angevins, à l'image d'un Kandia Traoré volontaire qui apporte un fondement certain à ses revendications.
La deuxième mi-temps sera moins passionnante. Progressivement, le SCO s'empare du ballon et le Racing défend, plutôt bien. Les Bleus répliquent en contre-attaque mais sont malheureusement souvent piégés en hors-jeu ce qui les empêche de tuer le match.
En fin de rencontre, ça commence à sérieusement cafouiller devant le but alsacien mais un Cassard souverain préserve la série d'invincibilité en cours (320 minutes). Car la grande leçon de ce match c'est bien la solidité défensive retrouvée du Racing. Jusqu'à cette frappe de Diers (90'+2), les Angevins n'étaient tout simplement pas parvenus à se créer une seule situation dangereuse dans la surface, se contentant de frappes lointaines non cadrées. L'arrière-garde de Strasbourg avait souvent été malmenée dernièrement, elle a désormais retrouvé une très appréciable sérénité, à l'image de Steven Pelé et Harlington Shereni concentrés et bien placés derrière une paire Lacour-Cohade omniprésente.
On aura donc pas forcément vu du très grand football à la Meinau mais le RCS a fait preuve de sérieux et d'engagement pour remporter un succès plus qu'important dans la course à la montée. A la fin du match, les joueurs viennent cette fois célébrer face au kop la victoire, preuve que les blessures hivernales sont désormais solidement cicatrisées. Attention toutefois à ne pas rouvrir les plaies à Troyes vendredi, sans les internationaux.
D'entrée de jeu, les Strasbourgeois appliquent un pressing très haut qui gène considérablement la relance du SCO et s'imposent dans le défi physique. A la 16ème minute, un coup-franc bien tiré par Renaud Cohade trouve James Fanchone dans la surface. Le Guadeloupéen remise pour Kandia Traoré, un peu oublié par la défense angevine, et l'ancien Sochalien ne se fait pas prier pour ouvrir le score du droit (1-0, 16'). Une occasion, un but, le match commence sous les meilleurs auspices et les hommes de Jean-Louis Garcia doutent visiblement, à l'image d'une charnière centrale Ecuele Manga Couturier loin d'être souveraine. Douze minutes plus tard, les Strasbourgeois doublent la mise : sur un dégagement de Shereni c'est cette fois Jean-Alain Fanchone qui donne à Traoré pour le doublé (2-0, 28'). L'Ivoirien aura encore une superbe occasion quatre minutes plus tard sur un beau rush mais son ballon frise le montant de Padovani. Deux buts d'écart à la pause, les Racingmen ont su profiter à merveille de la fébrilité des Angevins, à l'image d'un Kandia Traoré volontaire qui apporte un fondement certain à ses revendications.
La deuxième mi-temps sera moins passionnante. Progressivement, le SCO s'empare du ballon et le Racing défend, plutôt bien. Les Bleus répliquent en contre-attaque mais sont malheureusement souvent piégés en hors-jeu ce qui les empêche de tuer le match.
En fin de rencontre, ça commence à sérieusement cafouiller devant le but alsacien mais un Cassard souverain préserve la série d'invincibilité en cours (320 minutes). Car la grande leçon de ce match c'est bien la solidité défensive retrouvée du Racing. Jusqu'à cette frappe de Diers (90'+2), les Angevins n'étaient tout simplement pas parvenus à se créer une seule situation dangereuse dans la surface, se contentant de frappes lointaines non cadrées. L'arrière-garde de Strasbourg avait souvent été malmenée dernièrement, elle a désormais retrouvé une très appréciable sérénité, à l'image de Steven Pelé et Harlington Shereni concentrés et bien placés derrière une paire Lacour-Cohade omniprésente.
On aura donc pas forcément vu du très grand football à la Meinau mais le RCS a fait preuve de sérieux et d'engagement pour remporter un succès plus qu'important dans la course à la montée. A la fin du match, les joueurs viennent cette fois célébrer face au kop la victoire, preuve que les blessures hivernales sont désormais solidement cicatrisées. Attention toutefois à ne pas rouvrir les plaies à Troyes vendredi, sans les internationaux.
