Un Ouki de bonne foi, remplaçant Kamara,
Une défense aux abois, de Seka à Lala,
Un Pablo pour un Koné, des centraux qu'on permute,
Un Kader pour un Salmier, à chaque fois, ça rechute,
Un NDour qui reprend, cherchant vite l'embrouille,
Attention Foulquier, faut pas t'en battre les couilles...
Un Aholou transcendant, nous tenant en haleine,
Et un Jonas intrigant, n'effrayant pas une baleine,
Un Corgnet fatigué, puis qui la pente, remonte,
Et un Grimm bien timoré, étant loin du compte,
Un Gonzo énervé, faisant le job à la hache,
Et enfin notre Dim, se collant à la tâche...
On sort du terrier, un Da Costa de Blayac,
Pour des déboulés sidérants, des reprises qui claquent,
Des remises de la tête, loin d'être anodines,
Et pour un slalom épique, en terre girondine,
Un Saadi sur deux, c'est fête à la Meinau,
Et contre Paris ou Lyon, Steph a fait le beau...
Et toujours, le même Président !
Il y a eu tout ça,
Et puis malgré tout ça,
Quand je t'ai rencontré,
Il y a eu autre chose,
Et tu as peint pour moi,
Cette année tout en bleu-blanc,
Toi,
Oui toi,
Mon p'tit Racing de cœur
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