Jean-Christophe Devaux
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katzo68Sur la foi de ses dernières prestations, il a largement les chances d'être titularisé d'entrée de jeu face à Caen! -
Victime d'une lésion à l'ischijambier gauche lors du déplacement au Havre le 2 mars, "Jeannot" Devaux a passé hier matin une IRM de contrôle. L'examen a révélé que la blessure était cicatrisée. Il retrouvera donc le groupe dès ce matin 10 heures. Idem pour Mathlouthi. N'Diaye, lui, devrait reprendre en milieu de semaine. "J'ai bossé dur avec Jean Claude, je suis prêt" assure Devaux.
Source: L'Alsace -
j'espere sans trop y croire qu'il jouera a la place de Strasser contre Caen , a mon gout il merite beaucoup + sa place
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vincercs a écrit : j'espere sans trop y croire qu'il jouera a la place de Strasser contre Caen , a mon gout il merite beaucoup + sa place
Figure toi que dans l'état actuel des choses, tu n'es pas le seul vincercs, moi aussi, je pense que Devaux est largement supérieur à Jeff Strasser actuellement! -
A participé au match Caen - RCS 2-2 (Ligue 2) le : titulaire Avertissement
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A participé au match RCS - Gueugnon 2-1 (Ligue 2) le : titulaire
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A participé au match Grenoble - RCS 1-1 (Ligue 2) le : titulaire
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A participé au match Libourne St-Seurin - RCS 1-0 (Ligue 2) le : titulaire remplacé à la 74'
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A participé au match RCS II - Vesoul 1-1 (CFA (A)) le : titulaire Avertissement
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A participé au match Dijon - RCS 3-1 (Ligue 2) le : titulaire remplacé à la 45'
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A participé au match Nantes - Reims 5-0 (Ligue 2) le : titulaire remplacé à la 79' Avertissement
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A participé au match Reims - Libourne St-Seurin 2-1 (Ligue 2) le : titulaire
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A participé au match Grenoble - Reims 2-0 (Ligue 2) le : titulaire remplacé à la 85'
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A participé au match Reims - Niort 3-1 (Ligue 2) le : titulaire remplacé à la 46'
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Des nouvelles...
Actuellement bléssé au molet JC Devaux n'est même plus présent sur les feuilles de match... :( -
Ben c'est un peu normal s'il est blessé, non ?
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blessure à l'entrainement... mais depuis le match de nantes, il n'est pas en odeur de sainteté à Reims
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D'ailleurs, voici quelques avis de supporters rémois sur leur forum:
BOURRIQUET a écrit : Et bien c'est mal parti lorsque l'on voit ses prestations après les deux premiers matchs....je comprends que Strasbourg ai laissé ce joueur rapidement.Jimbo a écrit : Joueur sur le déclin, hors de forme après une saison sur le banc... A t-il les moyens de remonter la pente?mandu51 a écrit : qu'il rentre a strasbourg on ne veut pas de fumistes fini l'incompetence je n'en peux plus comme toute les autres equipes et autres joueurs il s'est prepare physiquement il devrait etre au top alors c'est du foutage de gueule son niveau qu'il degage au pire si nous jouons le national autant mettre un jeune pourqu'il s'aguerrisse degage DEVAUX!!!!!!!!!!!!!!!!!!Jimbo a écrit : Si on doit en vouloir à qqu'un, c'est bien à celui qui l'a recruté...
Devaux a été un très bon défenseur, très solide, mais il n'a plus 25 ans (je pense que les recruteurs du stade était au courant), il sort d'une saison quasi blanche avec Strasbourg et il a enchainé ses derniers tps plutôt des pepins physiques. Tous ces éléments étaiaent CONNUS de tous, en plus on ne peut pas dire qu'il est bien secondé que ce soit par Liron, les arrières latéraux et les milieux défensifs!
Il a, à mon avis actuellement une petite surcharge pondérale, ce qui n'est pas rédhibitoire, par contre au niveau confiance, il semble l'avoir perdu et l'expérience ne peut pas tout faire...Bébémac a écrit : L'entreprise (DEVAUX ) clotures infranchissables .!
Pour le notre .? je crois que ce n'est pas du tout ça .? :p
Source -
s'il met un but en finale de coupe ils lui pardonneront tout....
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Un peu facile de le rendre responsable des résultats actuels de Reims en tous cas...! Selon moi JC reste un très bon défenseur (+)
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superdou a écrit : D'ailleurs, voici quelques avis de supporters rémois sur leur forum:
BOURRIQUET a écrit : Et bien c'est mal parti lorsque l'on voit ses prestations après les deux premiers matchs....je comprends que Strasbourg ai laissé ce joueur rapidement.Jimbo a écrit : Joueur sur le déclin, hors de forme après une saison sur le banc... A t-il les moyens de remonter la pente?mandu51 a écrit : qu'il rentre a strasbourg on ne veut pas de fumistes fini l'incompetence je n'en peux plus comme toute les autres equipes et autres joueurs il s'est prepare physiquement il devrait etre au top alors c'est du foutage de gueule son niveau qu'il degage au pire si nous jouons le national autant mettre un jeune pourqu'il s'aguerrisse degage DEVAUX!!!!!!!!!!!!!!!!!!Jimbo a écrit : Si on doit en vouloir à qqu'un, c'est bien à celui qui l'a recruté...
Devaux a été un très bon défenseur, très solide, mais il n'a plus 25 ans (je pense que les recruteurs du stade était au courant), il sort d'une saison quasi blanche avec Strasbourg et il a enchainé ses derniers tps plutôt des pepins physiques. Tous ces éléments étaiaent CONNUS de tous, en plus on ne peut pas dire qu'il est bien secondé que ce soit par Liron, les arrières latéraux et les milieux défensifs!
Il a, à mon avis actuellement une petite surcharge pondérale, ce qui n'est pas rédhibitoire, par contre au niveau confiance, il semble l'avoir perdu et l'expérience ne peut pas tout faire...Bébémac a écrit : L'entreprise (DEVAUX ) clotures infranchissables .!
Pour le notre .? je crois que ce n'est pas du tout ça .? :p
Source
tu n'as pire que le pire...
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Devaux veut défier Vauban
Blessé durant deux mois, l'ex-Strasbourgeois a rejoué avec Reims samedi en amical. Il pourrait être du déplacement chez les Pierrots dimanche (14 h) pour le 7e tour de la Coupe de France.
Ceux qui parcourent régulièrement les fiches techniques de Ligue 2 n'y ont plus lu le nom de Jean-Christophe Devaux depuis la 4e journée et le succès de Reims contre Niort (3-1). L'ex-défenseur du Racing (de 2000 à 2007) a disparu de la circulation à cause d'une vilaine déchirure au mollet gauche. « Pas celui qui m'avait empoisonné la vie la saison dernière au Racing. L'autre. »
Depuis, le Lyonnais, qui avait joué les quatre premières rencontres, a collectionné les galères. « J'ai repris en CFA, mais rechuté la semaine suivante. J'ai alors décidé de prendre le temps de me soigner. » Il y a trois semaines, « Jeannot » a repris le travail avec le préparateur physique. En début de semaine passée, il a réintégré le groupe. Cerise sur le gâteau, il a disputé samedi la dernière demi-heure du match amical perdu 2-1 à Châlons-en-Champagne contre le FC Brussels. « Ça va beaucoup mieux. J'espère vraiment être du déplacement à Vauban. J'aurais grand plaisir à revenir en Alsace. Mon fils aussi, dont le parrain, Jean-Marie Steinmetz, est un pur Alsacien. J'ai laissé à Strasbourg beaucoup d'amis. »
Devaux et les Rémois ne feront pour autant pas du tourisme au stade de la porte de Kehl. « J'ai prévenu mes coéquipiers. Avec la réserve du RCS, j'ai eu l'occasion de jouer en amical face à Vauban à Niederbronn-les-Bains (2-0 en juillet 2006). J'ai le souvenir d'une équipe qui ne lâchait rien. Devant son public, elle va tout donner et se battre. La Coupe transcende les équipes de niveau inférieur. Si nous ne sommes pas prêts physiquement et costauds dans les têtes, nous risquons l'élimination. »
Prêt physiquement, le néo-Rémois assure qu'il le sera s'il est du déplacement. « Je ne peux pas me permettre de jouer en Alsace à 50 %. Je compenserai mon déficit de rythme en étant à fond mentalement. »
« J'ai mis du temps à digérer »
L'ex-défenseur du RCS compte en effet très vite aider la 15e défense de Ligue 2 (22 buts encaissés en 16 matches) à se stabiliser. « J'ai signé à Reims pour deux ans. Le club ne demande qu'à grandir. Il m'a recruté pour mon expérience et ma blessure m'a empêché de l'apporter. Mais le coach (Thierry Froger) m'a répété qu'il comptait sur moi. D'ailleurs, lorsqu'il réunit les cadres de l'équipe une fois par mois, il me convie. Il est très ouvert, à l'écoute des remarques, mais aussi des critiques. Il était demandeur d'un avis extérieur. Des tribunes, j'ai pu observer certains problèmes. On va les régler. »
Malgré un parcours en dents de scie, Reims n'est, à ses yeux, pas hors course pour la montée en L 1. « Nous sommes à neuf points de la 3e place, mais dans ce championnat bizarre où tout le monde peut battre tout le monde, tout reste possible. L'objectif Ligue 1 était programmé sur deux ans. Si ce n'est pas pour cette saison, nous remettrons ça la prochaine. »
Comme à Strasbourg où il a passé sept saisons, « Jeannot » souhaite s'inscrire sur la durée à Reims, après son départ mouvementé du Racing et sa virulente charge médiatique contre Jean-Pierre Papin. « On m'avait promis un an de plus en cas de départ de JPP. La promesse n'a pas été tenue. C'est le foot. Mais quelque part, c'était un mal pour un bien. Ma famille et moi nous sentons bien en Champagne. J'ai mis du temps à digérer mon départ de Strasbourg. Aujourd'hui, j'ai tourné la page. »
source : l'Alsace
Y a pas moyen de déplacer ce Topic dans "Anciens joueurs" ? -
A participé au match Reims - Calais 4-1 (Coupe de France) le : titulaire
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A participé au match Nancy - Reims 2-1 (Coupe de France) le : titulaire
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A participé au match Libourne St-Seurin - Reims 1-1 (Ligue 2) le : titulaire
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A participé au match Reims - Grenoble 3-4 (Ligue 2) le : titulaire
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A participé au match Niort - Reims 0-1 (Ligue 2) le : remplaçant entré en jeu à la 89'
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A participé au match Reims - Gueugnon 2-1 (Ligue 2) le : titulaire
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A participé au match Dijon - Reims 2-2 (Ligue 2) le : titulaire
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A participé au match Reims - Troyes 0-1 (Ligue 2) le : titulaire
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A participé au match Reims - Boulogne 4-1 (Ligue 2) le : titulaire remplacé à la 88'
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A participé au match Guingamp - Reims 2-1 (Ligue 2) le : titulaire Avertissement
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A participé au match Montpellier - Reims 0-0 (Ligue 2) le : titulaire [C]
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A participé au match Reims - Bastia 1-2 (Ligue 2) le : titulaire
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A participé au match Reims - Sedan 3-1 (Ligue 2) le : titulaire [C] Avertissement
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A participé au match Amiens - Reims 1-0 (Ligue 2) le : titulaire Avertissement
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A participé au match Reims - Châteauroux 2-0 (Ligue 2) le : titulaire [C]
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A participé au match Reims - Brest 0-0 (Ligue 2) le : titulaire
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A participé au match Reims - Clermont 0-0 (Ligue 2) le : titulaire remplacé à la 14' [C]
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Les denières news, il serait en train d'essayer de rompre son contrat à l'amiable avec le Stade de Reims... comme l'entraineur a changé...
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Devaux, prêt à tout
Ecarté à Reims sous l'ère Tholot, l'ex-Strasbourgeois espère revenir en grâce avec l'arrivée de Luis Fernandez. Pas à temps toutefois pour affronter le RCS vendredi à 20 h 30 au stade Auguste-Delaune.
Il reste, de ce côté-ci des Vosges, l'emblématique buteur du sacre du Racing en finale de la Coupe de la Ligue 2005 contre Caen au Stade de France (2-1). De 2000 à 2007, Jean-Christophe Devaux (33 ans) a défendu les couleurs du RCS. Mais au terme de son contrat en juin 2007, le club alsacien ne l'a pas retenu. « Avec tout ce que j'avais donné, j'espérais que cela se terminerait autrement. Mais c'est ainsi. Le foot est un milieu impitoyable. J'en fais encore l'expérience à Reims. »
Jean-Christophe, comment allez-vous ?
Bien.
Oui, mais vous ne jouez pas avec Reims. On dit que Didier Tholot vous avait écarté...
C'est ce qu'on m'a longtemps fait croire aussi. Mais tout finit par se savoir. Après le départ de Tholot avec lequel j'ai toujours entretenu des rapports corrects, les langues se sont déliées. Ce n'est pas lui qui m'a mis de côté, mais le directeur sportif Olivier Létang. Et je crains que ce monsieur ne tente de convaincre Luis Fernandez d'en faire autant.
Que s'est-il passé pour que vous soyez ainsi en guerre avec lui ?
Je n'en sais rien, c'est ça le pire. Vous me connaissez, je ne suis pas le genre de joueur et d'homme à semer le désordre. Peut-être est-ce d'ailleurs pour cela qu'il s'en prend à moi. Le révéler va peut-être me coûter cher. Mais j'assume. Je n'ai rien à cacher, ni à perdre.
N'y a-t-il vraiment rien d'autre ?
Cet été, j'aurais pu partir. J'ai d'abord fait un essai positif au Maccabi Haïfa en Israël, mais ça ne s'est pas fait. J'ignore encore pourquoi. Ensuite, le club chypriote de Famagouste (Ndlr : qui vient d'être éliminé en Ligue des Champions) m'a contacté. J'ai demandé à Reims, qui ne comptait plus sur moi, le versement de 50 % de ma dernière année de contrat. Les dirigeants ne m'en ont proposé que 30. J'ai refusé. Ils ont tenté de me faire craquer. Mais j'en ai vu d'autres et je n'ai pas cédé. A la fin du mercato, Reims m'a proposé 70 %. Mais c'était trop tard. Famagouste avait enrôlé un autre défenseur.
Du coup, alors que vous aviez disputé 19 matches en 2007-2008, vous n'avez pas joué cette saison ?
Si, une dizaine de fois avec la réserve qui a longtemps été en tête en CFA 2. Certains pros ont refusé d'y évoluer. Pas moi. Je suis toujours dans l'esprit et j'avais besoin de garder le rythme. Je m'entraîne avec le groupe pro sans jamais figurer sur la feuille de match. Dans mon comportement, je reste exemplaire.
Avez-vous discuté avec Luis Fernandez depuis son arrivée ?
Lundi, un quart d'heure en tête à tête. Je lui ai dit qu'il ne devait pas tenir compte des fausses informations qu'on avait éventuellement pu lui donner à mon sujet et lui ai demandé de ne me juger que sur le terrain. Je me tiens à sa disposition. Je peux faire partie des guerriers dont il aura besoin. Physiquement, je me sens bien et je pense pouvoir apporter quelque chose. J'ai déjà vécu des situations analogues. J'ai dit à Luis qu'il serait bête de se priver d'un joueur de mon expérience. J'ai toujours fonctionné à la confiance d'un entraîneur. S'il me l'accorde, je la lui rendrai.
Avez-vous un espoir de figurer dans le groupe contre Strasbourg vendredi ?
Honnêtement ? Non. Mais pour les rencontres suivantes, pourquoi pas ? L'idéal pour moi serait que le match soit remis. Ça me donnerait peut-être l'occasion de rejouer plus tard contre le Racing (rires).
L'Alsace -
Létang répond à Devaux
Mis en cause par l'ancien Strasbourgeois Jean-Christophe Devaux, Rémois depuis 2007, dans ces colonnes, le directeur général du club champenois Olivier Létang a souhaité lui répondre hier. « Après le départ de Didier Tholot (l'entraîneur évincé fin décembre) avec lequel j'ai toujours entretenu des rapports corrects, les langues se sont déliées », déclarait « Jeannot » Devaux mercredi, « Ce n'est pas lui qui m'a mis de côté, mais le directeur sportif Olivier Létang. Et je crains que ce monsieur ne tente de convaincre Luis Fernandez d'en faire autant. »
Arguant avoir « horreur des mensonges et de l'injustice », le DG rémois dément être à l'origine de l'éviction de l'ex-Racingman. « Contrairement à ce que Jean-Christophe Devaux affirme dans l'article, nous, dirigeants, avons un profond respect pour le métier d'entraîneur et n'intervenons jamais dans la composition d'équipe. Fleury Di Nallo, l'agent de Samy Yachir (Ndlr : lui aussi ancien Strasbourgeois passé par Reims la saison passée), m'a dit un jour : « Je ne connais aucun entraîneur qui se prive d'un joueur dont il pense qu'il peut lui faire gagner un match. » Je suis d'accord avec ça. Je n'ai pas pour habitude de répondre ainsi et la polémique ne m'intéresse pas. Mais il fallait que ce soit dit. »
Comme il l'affirmait déjà dans l'interview, J.-C. Devaux maintient et assume ses propos.
L'Alsace -
Citation: Samedi après-midi, l'équipe d'Ain Sud Foot (DHR), conduite par l'ancien professionnel lyonnais Jean-Christophe Devaux, a créé la première surprise en battant à Saint-Maurice de Beynost le FC Bourg-Péronnas (2-1), pensionnaire de CFA.
FFF
O:) -
Il nous a vengé de Bourg-Péronnas (+)
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Devaux, c'était encore un de ces joueurs aux qualités sportives et humaines que le Racing n'aurait jamais dû laisser partir! un parmi tant d'autres!
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En même temps, Devaux est parti en fin de carrière, le garder pour le garder n'aurait eu aucun intérêt.
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si! pour assurer défensivement et pour un projet de reconversion, il aurait beaucoup apporté!
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Il n'assurait plus défensivement quand il est parti.
Et pour le projet de reconversion, je ne pense pas que le club était en manque de personnel à cette époque. -
Autant je suis d'accord au niveau des qualités humaines, autant sur son niveau sportif, je suis beaucoup plus réservé, c'était quand même assez juste. Par contre pour cette saison avec ses jambes de l'époque ça casserait la baraque !
On aurait du le congeler ! -
« Jeannot » court encore comme un lapin
Entraîneur-joueur de l'équipe une d'Ain Sud Foot, l'ancien Racingman est un papa attentif aux progrès de sa progéniture. Il est ici avec son fils aîné, Mattéo, qu'il a accompagné à son entraînement à Saint-Maurice-de-Beynost. Photo S.G.
À 36 ans, Jean-Christophe Devaux, buteur décisif du dernier trophée remporté par le Racing Strasbourg (la Coupe de la Ligue 2005), est entraîneur-joueur d'un petit club de la banlieue lyonnaise et international de... beach soccer.
Assis sur le banc des délégués du stade synthétique de Saint-Maurice-de-Beynost, un papa attentif tend le pouce vers le haut. À quelques mètres de là, le petit Mattéo Devaux (7 ans) vient d'inscrire un but lors du petit match qui clôt l'entraînement de son équipe d'Ain Sud Foot, créé il y a dix ans et qui associe cinq communes des alentours (1).
Jean-Christophe Devaux, héros du sacre du Racing Strasbourg en Coupe de la Ligue 2005 au Stade de France contre Caen (2-1), félicite l'aîné de ses deux fils, le cadet, Marius (4 ans et demi) tâtant lui aussi du ballon dans le club amateur qu'a rejoint le défenseur en 2009, à la fin de sa carrière professionnelle.
Après son départ de Strasbourg en 2007, le Lyonnais de naissance a vécu une pénible expérience de deux ans au Stade de Reims (Ligue 2). À un point tel pour lui qu'à trois mois du terme de sa 2 e année en Champagne, totalement blanche, il s'en est allé. Les deux parties ont fini devant les tribunaux. « J'ai gagné mon procès. »
« Jeannot » a alors 34 ans. Sa carrière est derrière lui. Il est partagé entre l'envie de continuer et un ras-le-bol envers un milieu où, depuis la mort de son père, il ne se sent plus vraiment à sa place. « Après son décès, j'ai encore joué quatre ans en pros. Mais j'étais sur le terrain sans y être. J'ai plongé. Je me blessais régulièrement, mais ces blessures étaient plus psychologiques qu'autre chose et je suis tombé sur des entraîneurs qui ne m'ont pas compris. »
Sa dernière saison à Strasbourg sous les ordres de Jean-Pierre Papin s'est achevée dans la douleur. Les deux suivantes à Reims n'ont pas atténué le traumatisme lié à la disparition d'un papa avec lequel il partageait tant. « Malgré tous mes pépins durant la période rémoise, j'ai eu des touches au Maccabi Tel Aviv, avec Famagouste aussi, avant que le club chypriote ne s'illustre en Ligue des Champions. Mais les dirigeants champenois ne m'ont pas laissé partir. Ils ont squizzé ma fin de carrière et je suis arrivé à saturation. Même après Reims, j'ai été approché. Mais ça m'a pris la tête d'être confronté à des clubs qui ne prenaient pas de décision. J'ai aussi eu un contact à Dubaï qui ne s'est pas concrétisé. »
De guerre lasse, las lui-même, le buteur décisif de la Coupe de la Ligue 2005 décide de retourner au bercail, dans ce nid rhodanien qu'il a quitté en 2000 (voir Bio). Ain Sud Foot, club d'Honneur régional (Ndlr : juste en dessous de la DH), lui propose de le rejoindre, via son président Maurice Bourgeon. « J'étais un peu écoeuré et ne voulais plus entendre parler de foot. J'avais besoin de me ressourcer, de tourner la page. Ça a été dur, parce que j'estime que j'en avais encore sous le pied. Maurice connaissait bien mon père qui avait entraîné à Saint-Maurice à l'époque. Il m'a convaincu. »
L'ancien défenseur du RCS s'y remet d'abord en forme. Puis il intègre l'équipe comme joueur avant d'en prendre les commandes. Aujourd'hui, il allie les fonctions de coach et de guide sur le terrain, reconverti dans un rôle de milieu récupérateur dans lequel il s'épanouit. Il habite tout près de là, à Neyron. « Ma femme a repris un magasin, comme à Strasbourg. Je me suis rapproché de ma mère et mon frère. Nous sommes bien ici. Je vois grandir mes fils. Si j'avais signé à Dubaï, ça n'aurait pas été le cas, car je serais parti seul. »
« Jeannot » a ainsi trouvé son équilibre. Il s'accommode sans amertume de ses quelques regrets, conscient de n'avoir pas toujours lui-même mis tous les atouts de son côté. « Mon grand regret, c'est ma grave blessure à Lyon (en 1997). Mon contrat à la Lazio de Rome était prêt. Mais une semaine avant de le signer, je me suis rompu le tendon d'Achille. Par la suite, je n'ai jamais vraiment retrouvé mon niveau d'avant. J'avais perdu en détente, en vitesse. J'ai aussi fait de mauvais choix. Après notre sacre en Coupe de la Ligue, j'aurais dû tenter ma chance à l'étranger. Des clubs comme West Ham étaient intéressés. »
Mais comme il se plaît à le souligner, personne ne lui reprendra ses quinze années pros. Ni n'effacera l'indélébile souvenir d'un coup franc d'anthologie un soir de finale, le 30 avril 2005, au Stade de France. Ce jour-là, le Racing, qui a ouvert le score par Mamadou Niang, et Caen, qui a rétabli la parité par Sébastien Mazure, sont à égalité quand « Jeannot » plante Planté, le gardien normand, d'une phénoménale patate. « Gagner une finale et en être le buteur décisif devant 80 000 personnes au Stade de France, c'était énorme, magnifique. Le tifo des supporters du Racing l'était aussi. Je ne sais pas si depuis, il y en a eu d'aussi beaux. Ce coup franc reste inoubliable. Je l'ai montré à mes joueurs. L'an dernier, j'en ai mis un autre de 40 m, mais on en a moins entendu parler (rires) . »
(1) Saint-Maurice-de-Beynost, Beynost, Miribel, Neyron et Thil.
L'Alsace -
« Un exemple pour nous »
30 avril 2005 : le jour de gloire pour Jean-Christophe Devaux, auteur d'un coup franc d'anthologie qui offre au Racing son deuxième sacre dans l'épreuve, après 1997. Archives Hervé Kielwasser
Son coéquipier Gaël Berger, journaliste radio à Lyon, et son président Maurice Bourgeon louent l'humilité avec laquelle l'ex-Racingman s'est fondu dans le moule amateur.
Jean-Christophe Devaux a laissé à Strasbourg l'image d'un défenseur axial rigoureux plus que rugueux, jouant de son physique pour compenser un certain manque de vitesse un manque de vitesse certain qu'il reconnaît volontiers dans un sourire. À Ain Sud Foot, l'ancien pro s'est reconverti milieu axial et s'éclate à faire jouer les autres. « Des mecs capables de te mettre une transversale de 40 m dans les pieds, il n'y en a pas beaucoup », jubile l'attaquant Gaël Berger, journaliste à « Radio Scoop » et partenaire de « Jeannot » quand son emploi du temps le lui permet. « En fait, je joue quand l'OL ne joue pas. Et je m'entraîne quand mon métier m'en laisse le temps. Jean-Christophe sait que si je rate un entraînement, c'est uniquement parce que je n'ai pas pu venir. Alors qu'il vient d'un milieu pro dont on connaît l'exigence, il est plus compréhensif que beaucoup d'entraîneurs amateurs. »
Compréhensif. Pédagogue aussi. « Jamais il ne se sert de son passé pro pour nous en mettre plein la vue », détaille notre confrère. « Quand il y fait référence, c'est parce qu'il est convaincu que ça peut nous servir. Avec sa carte de visite, il aurait pu arriver en terrain conquis. Ça n'a pas été le cas. Il y a chez lui une humilité qui ne peut que déteindre sur nous. Moi qui suis attaquant, je suis demandeur de ses conseils. Car il a eu, durant sa carrière, affaire à de grands buteurs. »
Le défenseur central n'a donc rien de « l'ancien combattant » qui ressasse inlassablement le bon vieux temps. Mais il s'appuie tout de même sur son vécu pour faire passer son message. « Je raconte souvent des anecdotes pour faire sentir les choses à mes joueurs, parce que j'aimerais que nous ayons une identité de jeu. Dans le rôle d'un entraîneur, il y a beaucoup de psychologie. À la limite, plus que de tactique. J'aime échanger, chambrer. Mais mes joueurs me chambrent aussi, même s'ils ne m'appellent pas encore papy (sourire) . »
D'autant moins d'ailleurs que le « papy » en question n'est pas du genre à donner sa part aux chiens. Gaël Berger, témoin d'un épisode qui en dit long, est admiratif. « Il y a quelque temps, notre équipe 1 jouait le samedi et notre réserve, le dimanche. Un joueur de l'équipe 2 a annoncé le samedi soir à son coach qu'à cause d'un imprévu, il ne pourrait pas jouer le lendemain à Passy-Mont-Blanc. Jeannot s'est proposé comme 14 e. Il avait pourtant une fête d'anniversaire le soir même. Il s'est couché à 6 heures et à 9 heures, il était au rendez-vous pour le départ. Il s'est tapé deux heures de minibus et sur place, il a dit au coach : ''Tu me mets sur le banc. Si besoin, je joue 20 minutes.'' C'est ce qui s'est passé. Ce mec a été pro, gagné la Coupe de la Ligue, joué la Coupe d'Europe et à 36 balais, il n'hésite pas à se farcir quatre heures de minibus pour faire le nombre en équipe 2. C'est un exemple pour nous tous. Il l'est dans la préparation, l'attitude, la lucidité et la volonté de gagner. Il reste un compétiteur hors pair. »
Bref, dans ce « petit » club de la banlieue lyonnaise, fort de 600 licenciés le premier club de l'Ain en nombre -, J.-C. Devaux force le respect. À commencer par celui de son président Maurice Bourgeon. « Nous avons reçu la saison passée le challenge de l'éthique et du fair-play de la Ligue Rhône-Alpes. Jeannot cadre parfaitement avec l'image que nous voulons donner. Il s'est parfaitement intégré et passe super bien. Notre objectif est de monter en DH, puis en CFA 2, mais nous ne nous sommes pas fixé de délai. »
Après avoir raté l'accession de peu ces deux dernières années, Ain Sud Foot caracole en tête de sa poule d'Honneur régional. Il semble parti pour rejoindre la DH et franchir le premier palier « du projet de trois ou quatre ans » dans lequel son entraîneur-joueur s'est investi. « J'ai de très bons joueurs à ma disposition. Avec eux, je prends du plaisir, même si nos adversaires sont toujours à 200 %. Ça ne me dérange pas : j'ai toujours aimé le combat. »
Les attaquants qui ont croisé sa route durant son parcours professionnel et qui, pour certains, lui ont fait des misères, peuvent tous en attester.
L'Alsace -
Ohhh Jeannot!
Un mec vrai, plus supporter que footballeur.
Ce type, on pouvait discuter des heures avec lui, de tout. De foot, de notre club, de nos soucis et passions de supporters.
S'il y en a un seul que je voudrais revoir un jour, c'est bien lui. Pour lui redire merci, merci pour tout!
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