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Auteur d'une première mi-temps médiocre, le Racing a su réagir après la pause pour s'imposer au courage et avec beaucoup de réussite face à des Brestois en manque d'efficacité.
Domination bretonne
Battu la semaine passée à domicile mais toujours bien placé pour accéder à la L1, le Stade Brestois avait décidé d'entamer la rencontre offensivement face à une équipe strasbourgeoise pourtant disposé en 4-3-3.
Gêné par le pressing et l'organisation bretonne, le Racing souffre dès l'entame du match et peut se satisfaire d'atteindre le bout du premier quart d'heure avec un score vierge. Ni la tête de Brou Apanga à la quatrième minute suite à un premier coup-franc de Grougi (but refusé pour un hors-jeu) ni la tête non cadrée de Nolan Roux (venu pressé judicieusement Stéphane Cassard après un dégagement raté du gardien alsacien) ne permettent en effet aux visiteurs de concrétiser leur nette domination.
Le Racing en contre
Obligé d'évoluer en contre, le Racing parvient à approcher du but breton après la vingtième minute, essentiellement grâce à Mamadou Bah, d'abord auteur d'une belle percée dans la défense adverse à la 21ème minute (sa passe à Quentin Othon permet à ce dernier de tenter sa chance à l'entrée de la surface mais sans réussite, le ballon passant au dessus du but) puis une minute plus tard, sur une frappe puissante du gauche détournée du cadre par une belle claquette de Steve Elana.
La fin de la première période est favorable à Brest, meilleure équipe du championnat à l'extérieur (cinq victoires, six nuls, deux défaites), qui se montre régulièrement dangereux sur coups de pied arrêtés tandis que les rares incursions alsaciennes n'inquiètent pas la défense menée par Ahmed Kantari, l'ancien strasbourgeois.
Occasions sur coups de pied arrêtés
Mais l'entrée en jeu à la mi-temps de Magaye Gueye, de retour de blessure, va enfin permettre au Racing de se montrer plus dangereux offensivement. Cependant, c'est toujours Brest qui semble le plus proche de l'ouverture du score. A la 55ème minute, un coup-franc puissant tiré des trente mètres par l'incontournable Bruno Grougi est dévié de la cuisse par Cassard. Un arrêt peu académique que Thierry Omeyer, gardien de l'équipe de France de hand-ball, aura sans doute apprécié de la tribune où il assistait à la rencontre, après en avoir donné le coup d'envoi fictif.
Si les joueurs strasbourgeois réclament un penalty à la 58ème minute pour une main d'un défenseur suite à un corner tiré par Quentin Othon, c'est à nouveau les visiteurs qui sont tout proche de l'ouverte trois minutes plus tard : le pied de Grougi trouvant à nouveau la tête de Brou Apanga pour un tir passant à quelques centimètres au-dessus de la transversale.
Le pressing brestois moins efficace
Heureusement, si ce n'est sur une tentative involontaire de lob de Nolan Roux à la 74ème minute, obligeant Stéphane Cassard à réaliser une belle intervention sur sa ligne de but, les Bretons baissent peu à peu de rythme et sont de moins en moins percutants.
On semble alors se diriger vers un match nul frustrant pour le Stade Brestois, quand les entrées d'Emil Gargorov et Farez Brahmia permettent à l'équipe du RCS d'attaquer les dernières minutes de jeu avec de nouvelles solutions offensives.
C'est d'ailleurs le jeune haut-rhinois qui, sur son côté droit, délivre à quatre minutes de la fin du temps réglementaire, un excellent centre pour la tête victorieuse de Rodrigo : 1-0 pour le Racing sur sa seule véritable occasion du match !
Toujours 5 points d'avance
Les Brestois, fatigués, ne parviendront pas à revenir au score et peuvent nourrir de légitimes regrets tandis que le Racing, solide défensivement mais peu tranchant sur le plan offensif, prend trois points heureux qui le rapprochent un peu plus du maintien.
Les hommes de Pascal Janin, treizièmes, possèdent toujours cinq longueurs d'avance sur le premier relégable avant le déplacement vendredi prochain à Tours (11ème) et, peut-être, la première victoire à l'extérieur de la saison.
Battu la semaine passée à domicile mais toujours bien placé pour accéder à la L1, le Stade Brestois avait décidé d'entamer la rencontre offensivement face à une équipe strasbourgeoise pourtant disposé en 4-3-3.
Gêné par le pressing et l'organisation bretonne, le Racing souffre dès l'entame du match et peut se satisfaire d'atteindre le bout du premier quart d'heure avec un score vierge. Ni la tête de Brou Apanga à la quatrième minute suite à un premier coup-franc de Grougi (but refusé pour un hors-jeu) ni la tête non cadrée de Nolan Roux (venu pressé judicieusement Stéphane Cassard après un dégagement raté du gardien alsacien) ne permettent en effet aux visiteurs de concrétiser leur nette domination.
Le Racing en contre
Obligé d'évoluer en contre, le Racing parvient à approcher du but breton après la vingtième minute, essentiellement grâce à Mamadou Bah, d'abord auteur d'une belle percée dans la défense adverse à la 21ème minute (sa passe à Quentin Othon permet à ce dernier de tenter sa chance à l'entrée de la surface mais sans réussite, le ballon passant au dessus du but) puis une minute plus tard, sur une frappe puissante du gauche détournée du cadre par une belle claquette de Steve Elana.
La fin de la première période est favorable à Brest, meilleure équipe du championnat à l'extérieur (cinq victoires, six nuls, deux défaites), qui se montre régulièrement dangereux sur coups de pied arrêtés tandis que les rares incursions alsaciennes n'inquiètent pas la défense menée par Ahmed Kantari, l'ancien strasbourgeois.
Occasions sur coups de pied arrêtés
Mais l'entrée en jeu à la mi-temps de Magaye Gueye, de retour de blessure, va enfin permettre au Racing de se montrer plus dangereux offensivement. Cependant, c'est toujours Brest qui semble le plus proche de l'ouverture du score. A la 55ème minute, un coup-franc puissant tiré des trente mètres par l'incontournable Bruno Grougi est dévié de la cuisse par Cassard. Un arrêt peu académique que Thierry Omeyer, gardien de l'équipe de France de hand-ball, aura sans doute apprécié de la tribune où il assistait à la rencontre, après en avoir donné le coup d'envoi fictif.
Si les joueurs strasbourgeois réclament un penalty à la 58ème minute pour une main d'un défenseur suite à un corner tiré par Quentin Othon, c'est à nouveau les visiteurs qui sont tout proche de l'ouverte trois minutes plus tard : le pied de Grougi trouvant à nouveau la tête de Brou Apanga pour un tir passant à quelques centimètres au-dessus de la transversale.
Le pressing brestois moins efficace
Heureusement, si ce n'est sur une tentative involontaire de lob de Nolan Roux à la 74ème minute, obligeant Stéphane Cassard à réaliser une belle intervention sur sa ligne de but, les Bretons baissent peu à peu de rythme et sont de moins en moins percutants.
On semble alors se diriger vers un match nul frustrant pour le Stade Brestois, quand les entrées d'Emil Gargorov et Farez Brahmia permettent à l'équipe du RCS d'attaquer les dernières minutes de jeu avec de nouvelles solutions offensives.
C'est d'ailleurs le jeune haut-rhinois qui, sur son côté droit, délivre à quatre minutes de la fin du temps réglementaire, un excellent centre pour la tête victorieuse de Rodrigo : 1-0 pour le Racing sur sa seule véritable occasion du match !
Toujours 5 points d'avance
Les Brestois, fatigués, ne parviendront pas à revenir au score et peuvent nourrir de légitimes regrets tandis que le Racing, solide défensivement mais peu tranchant sur le plan offensif, prend trois points heureux qui le rapprochent un peu plus du maintien.
Les hommes de Pascal Janin, treizièmes, possèdent toujours cinq longueurs d'avance sur le premier relégable avant le déplacement vendredi prochain à Tours (11ème) et, peut-être, la première victoire à l'extérieur de la saison.
